La critique Cinématographique de la semaine

 

Cela faisait déjà un bon moment que j'avais la brûlante envie d'aller voir le film qui paraissait en bande annonce, l'un des plus attendu de ce mois, et pourtant, j'ai été chagriné par certains points.

Insaisissable

 

Le film insaisissable est une histoire de magicien, qui par définition nous laisse penser que celui-ci se déroule dans l'énigmatique histoire de la magie.. Et cela reflète bien son concept, bien que celui-ci montre parfois des excès manquant de concret.

"Certains diront que la magie est une chose peu concrète ! Mais ce n'est là le fruit que de vos yeux qui regardent ce qu'ils veulent voir plutôt que de regarder là où la magie s'opère réèlement, cette magie n'étant que le mécanisme d'une succession d'étapes avant d'arriver à l'illusion ultime" bien que tout les tours d'un magicien soient une parfaite anarque, parfois très simple, celui-ci ne dévoile jamais ses cartes, et c'est bien ce que nous fait partager ce Film hormis quelques tours dévoilés, mais rien de réèlement connut.

Il nous plonge dans l'univers de la magie et de l'aventure de quatre magiciens cherchant hardemment leur voie dans cette branche. Etant les meilleurs de leur catégorie, ils seront amenés à tenter de réaliser un projet fastidieux commandé par un mystèrieux donneur d'ordre capuchonné, sous les projecteurs du public, mais malheureusement, sans l'approbation de la police qui seront un frein dans leur aventure.

 

 

Ce film est un mélange de Gadgets en tout genres qui reflètent un film à gros budget, et ce malheureusement, sans trop de résultat en retour. Il nous promet de la magie mais la bande annonce y montre déjà tout ce qui s'y trouvent. Beaucoup d'éléments restent sans réponses, et l'histoire file trop vite au goût de certains, laissant un suspens inexistant et la chute de la fin (Pour ceux qui l'on vu) totalement bidon.

Les scènes ne dégagent pas de magie, mais dévoilent en revanche beaucoup de trop "Technologie" remplaçant de ce fait la magie, comme cette scène bidon du début, ou la carte est inscrit sur la façade du gratte-ciel.

 

 

Le rôle tant attendu de morgan freeman laisse sous-entendre en revanche qu'il serait grand temps pour lui de prendre sa retraite, ses rôles de "Marcheur de l'ombre" finissent par ternir son tableau et ce non dû à son âge ni a son jeu d'acteur, mais aux rôles de plus en plus reculés et sans âme qui lui sont donnés, la plupart des acteurs excécutent leur marchés et filent bien l'histoire... Les personnages progressent sans jamais trop de difficulté et leur idéaux nous sont totalement inconnu, nous passons donc plus de temps du coter de la police plutôt que des magiciens, laissant de coter au plus souvent la partie magique du film...

Le final  pourrait être à couper le souffle, mais on saisie pas vraiment le pourquoi du comment, les gens s'extasient mais à part avoir consomé un max de drogue dure, on comprend pas vraiment ce qu'il y a de très "Magique" et de si palpitant au point de s'en croire à un concert de pink floyd, la magie n'est pas là, seul la technologie se laisse surprendre.

 

 

En définitive, j'ai trouvé que dans le Film Insaisissable, la magie n'opèré pas, le final tant attendu n'est pas magique, et le concept reste encore flou même si la fin nous donne beaucoup de réponses sur le pourquoi du comment, et sur qui.

Les différentes scènes sont perçus comme des tours de passe-passe, et les plus gros tour sont archivés par la technologie, et certains bien trop grossit pour la réalité, et Mélanie Laurent passant son temps à ricanner et glousser comme une gamine tout le long du film, finit par nous donner la migraine et une pressante envie de la tarter et à se demander si son rôle était de nous stresser sans trop de parôle en passant son temps à glousser.

 

Néanmoins ce film se laisse regarder, le scénario n'est pas compliqué mais il faut suivre. Ne cherchez pas le concret dans ce film, il n'y en a pas, ne demander pas pourquoi, il n'y a pas de réponse, est c'est bien ça qui est dommage, la magie est un mot paradoxale, mais il ne faut pas en abuser, car le paradox, quant à lui, n'est pas impossible.